Les arbres ne montent pas jusqu'au Ciel...

Les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie...

 

LE COCHON  SIDERAL

Elle prie le ciel pour lui demander de bien nous inspirer

Le 10 juillet 2006 - semaine 28

Le respect de l'interférence quant à l'évolution de la vie nous a incité à ne pas évoquer la semaine dernière le cas d'Amélie Mauresmo sur lequel nous nous étions penchés en début d'année. Il nous apparaissait que le petit creux qu'elle venait de traverser depuis la mi-mars se terminait au cours de la semaine passée. Dommage... ou tant mieux..., sa victoire au tournoi de Wimbledon confirme ce que nous pensions. Les nuages sont partis et le reste de l'année devrait lui permettre de se maintenir en haut de l'échelle mondiale pour sans doute garder la place qu'elle occupe actuellement.

Sur marché du porc breton : Une fourchette comprise entre 1,32 et 1,34 au cours des semaines à venir, tel est l'objectif qui était indiqué la semaine dernière, tout en précisant qu'il était difficile d'avancer si le mouvement allait se déclarer dès le début ou en fin de semaine. Le décrochage intervenu sur le marché du porc breton dès lundi correspond parfaitement au signal qui planait sur ce marché au cours de la semaine écoulée. Ce mouvement est-il terminé du fait que le marché se soit légèrement repris au cours de la séance de jeudi ?. Cela est possible, mais nous n'en sommes pas persuadés. A priori, si une reprise un peu vigoureuse peut se dessiner au cours du marché de lundi sur le marché du porc breton, il faudra sans doute attendre le marché du 24 juillet ou aux alentours de cette date, pour être certain que l'effet du paramètre négatif qui a généré le mouvement baissier du début de la semaine écoulée, ne soit plus agissant. Bref, pour essayer de nous résumer, mis à part ce paramètre négatif qui, à priori, s'est déjà largement exprimé au cours du marché de lundi dernier, nous n'avons plus rien de significatif sur un plan baissier pour les semaines à venir. Nous pouvons également considérer compte tenu de certains éléments de court terme que, si le marché rebondit avec fermeté au cours de la semaine à venir ce qui est fort possible, le niveau des 1,40 soit de nouveau atteint au cours des prochaines semaines. Nous nous orienterions alors vers la réalisation d'un double ou triple top au cours des six prochaines semaines.

Sur les bourses : Le yo-yo continue, et le sommet enregistré début mai semble ne pas vouloir être pour l'instant dépassé. Un petit aspect qui arrive vers la fin du mois devrait de nouveau tempérer toute ardeur haussière sur les marchés.

Pétrole brut (brent) : Le paramètre négatif, selon la théorie classique, qui se présentait en milieu de semaine n'a nullement influencé l'évolution des cours qui sont revenus vers leurs plus hauts niveaux. Compte tenu des prix actuels, rien ne semble s'opposer présentement à ce que les plus hauts puissent être dépassés au cours de l'été. Néanmoins, nous restons avec un doute certain, dans la mesure où le paramètre négatif qui est en place depuis la mi-décembre va au fil des semaines redevenir agissant. Il devrait donc en résulter que si les hauts sont dépassés, ils ne devraient pas être pulvérisés. Il faudra donc attendre la fin août mi-septembre pour que puisse se dessiner une accalmie sur les prix. Une flambée des prix doit normallement se produire sur le brut, mais à mon point de vue elle est pour beaucoup plus tard, soit vers la fin de la présente décennie ou au début de la prochaine.


Sur le dollar : Le mouvement baissier semble se dessiner avec clarté, du moins contre l'euro... mais la poursuite de celui-ci sera sans aucun doute fonction des désidératas de la banque du Japon qui garde la main sur le marché. Remarquons simplement que les sommets du début juin et de la mi-mai n'ont pas pour l'instant été dépassés. Par contre, l'évolution est parfaitement constante dans l'euro-yen, et celle-ci n'est sans doute pas encore terminée. Toute nouvelle un peu inquiétante en provenance de Corée du nord sera sans aucun doute mise à profit par les autorités japonaises pour faire évoluer leur monnaie à la baisse. Le système reste d'ailleurs impertubablement long sur le dollar yen et l'euro yen.

Sur l'or et les taux d'intérêts :

Terminons le raisonnement que nous avions avancé en novembre 2005, concernant l'évolution du marché de l'or, lequel est exposé vers le milieu du présent paragraphe comme cela a été indiqué au début de cette page .
Entre 1965 et 1980, l'once d'or fin est passé de 35 à 850 dollars. Son prix a donc été multiplié par 24,2857. C'est sans doute le respect de la même proportion qui fait affirmer à Manfred Zimmel que l'or devrait atteindre d'ici une quinzaine d'année le niveau des 6000 dollars l'once. En ce qui nous concerne, dans un esprit mathématique, ou trop puriste, nous nous contentons d'effectuer bêtement la multiplication considérant qu'en 2001, le marché est parti de 255 dollars l'once. Respectant la proportion, nous obtenons :

260 X 850/35 = 6192,28 dollars. Si à cela nous ajoutons quelques paramètres assez négatifs qui devraient secouer l'économie mondiale entre 2010 et 2012, rien ne nous empêche de penser que le marché puisse aller plus haut.

Le président de la BCE semble avoir été assez clair dans ses déclarations : les taux sont condamnés à la hausse.

Concernant cette petite partie, comme il n'y a rien à changer pour une période assez longue, il me semble préférable de laisser pour l'instant cet ensemble en l'état.
Quelques questions nous sont posées assez souvent quant à l'évolution du métal jaune. Notre position est invariable depuis le 10 juillet 2001 : l'or est à la hausse jusqu'en 2018. Son sommet sera-t-il de 2000 dollars l'once ou de 5000, seules les années nous permettrons de constater le niveau qui sera atteint. C'est un mouvement de long terme qui est parfaitement cerné et sur lequel il y a unanimité sur un plan mondial. Un rapide étude réalisée depuis 1830, montre avec clarté que la période présente génèrera, obligatoirement une hausse du métal jaune (exprimée en dollars). Le mouvement est sur un plan théorique similaire à celui enregistré entre les années 1965 et 1981. A l'époque de 35, le marché est passé à 800. En 2001 au plus bas, le marché est cette fois parti de 250. Je vous laisse le soin de faire la ou les multiplications. La méthode utilisée permet non seulement pour la matière concernée (l'or métal), de déterminer la tendance, mais aussi d'avancer une amplitude quant au mouvement à venir.

Quant aux taux d'intérêts, ils ont bien réalisés leurs points bas en juin 2003, ce dont R Merriman avait fait part à l'époque en temps opportun. Occasion qui avait été saisie à l'époque par Warren BUFFET pour vendre l'ensemble de son portefeuille obligataire. Le cycle est identique à celui de l'or, il n'y a donc aucune raison de douter quant à l'évolution à venir. Si vous examinez une courbe des T-Bonds, vous remarquerez que de 1981 à 2003, les taux n'ont fait que de baisser avec quelques contre-mouvements, nous sommes maintenant repartis pour 20 ans dans l'autre sens.
Profitons d'ailleurs pour expliquer à ceux qui ne le sauraient pas qui est Warren BUFFET. Positionner ce Monsieur, est chose aisée. Tout le monde a entendu parler du patron de Microsoft, Bill Gates, première fortune du monde. Derrière lui, se trouve tout simplement Warren BUFFET. Particularité : il préside tous les ans une assemblée générale de son fond d'investissement. Si vous souhaitez y assister, l'entrée est payante, et tous les ans, la salle est comble.

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