Les arbres ne montent pas jusqu'au Ciel...

Les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie...

 

LE COCHON  SIDERAL

Elle prie le ciel pour lui demander de bien nous inspirer
Ajouter ce site à vos favoris

Le 6 novembre 2006 - semaine 45

Il n'y aura pas d'article la semaine prochaine.

La fenêtre qui se présentait lors de notre dernier article pour la beauté des cheveux des Dames est maintenant terminée. Nous aurons l'occasion de vous annoncer une nouvelle possibilité qui se présentera en fin de mois lors de notre prochain article.
Contrairement à ce qui était annoncé en début d'année, il ne semble pas pour l'instant que l'on assiste à de forts mouvements de troubles lesquels auraient pu se produire au cours de la période présente. Il faudra quand même attendre la fin de ce mois pour considérer que tout risque majeur est définitivement écarté. La même remarque peut également s'appliquer aux risques d'épidémie qui avaient été envisagés. A partir de la fin novembre, ces risques passeront au niveau réduit. Voilà pour les bonnes nouvelles (avec toute la relativité qui s'impose).

Sur marché du porc breton : Le marché et les prix du porc breton semblent pour beaucoup s'être stabilisés. D'ailleurs à lire les commentaires émis au cours des semaines séances, l'on se rend compte que l'espoir commence à renaître chez certains. La baisse des prix du porc est ou semble terminée... après un tel mouvement, car les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie !!!.
Le comportement enregistré au cours de la dernière quinzaine correspond parfaitement à ce que nous espérions dans l'ensemble, même si nous estimions que pour cette période le marché allait se stabiliser sur des niveaux plus élevés. Pour l'instant les prix du marché du porc breton se situent aux alentours de 1,15 et lors de notre article précédent nous vous avons laissé sous-entendre et annoncé qu'une autre baisse devait se produire à partir de la deuxième semaine de novembre. Nous y sommes. Nous sommes bien obligés de maintenir la position que nous avions avancée ; à savoir que les prix du marché du porc breton vont encore chuter au cours de la semaine à venir. Cette chute des prix devrait d'ailleurs se situer au maximum de la fourchette autorisée. Le marché devrait donc allègrement descendre au dessous des 1,10 dans un premier temps. Ce niveau ne constituera d'ailleurs qu'une étape intermédiaire vers une autre baisse sans doute aussi prononcée en fin de mois. Le marché du porc breton n'a pas encore atteint le niveau plancher qu'il doit atteindre.
Ce mouvement enregistré sur le marché du porc breton n'est d'ailleurs pas un mouvement isolé. Un de nos lecteurs assidu a eu la gentillesse de nous communiquer un article de son pays. On y lit notamment que les cours du prix du porc ont atteint dernièrement leur plus bas niveau depuis 40 ans. L'explication avancée est la suivante : la consommation a augmenté de 7% en moyenne au cours des dernières années alors que la production a augmenté de 15%.
Bref, à lire ces lignes, les producteurs de la communauté européenne n'ont pour l'instant aucune raison de se plaindre. Qui plus est, depuis le début de cette année, nous n'avons pas économisé nos lignes pour aviser et avertir que les prix du porc allaient baisser et que ce marché s'en allait vers un cycle baissier qui allait durer plusieurs mois. Lorsque ce marché se sera installé notoirement en dessous de l'euro, nous pourrons considérer que notre prévision était parfaitement juste, d'autant que les prix des céréales ne vont faire que de monter comme l'écrit R. Merriman depuis le mois d'août dernier. Vous pouvez d'ailleurs lire la traduction de ces articles sur ce site. Cette évolution (des prix des céréales), fera l'objet d'un chapitre complet dans l'ouvrage des prédictions 2007 qui sortira de presse fin décembre et que vous pouvez commander dès maintenant.

Sur les bourses : La petite baisse enregistrée au cours de la semaine dernière sur les marché européens s'inscrit logiquement comme une phase de consolidation. Nous sommes maintenant début novembre, et nous n'avons plus rien de bien violent actuellement qui puisse générer une baisse accentuée des bourses de valeur. Au contraire, aux alentours du 15 novembre, nous pourrions assiter à un nouvel élan haussier assez prononcé.

Pétrole brut (brent) : Bloqué en bas, bloqué en haut, telle semble être l'évolution de ce marché depuis environ un bon mois. Par contre, à l'exament des prix enregistrés sur le marché au comptant du brent, nous constatons que les prix ont bien franchi à la baisse les $60 pour s'approcher avec vigueur des $55. Les facteurs de baisse puissants qui étaient en place depuis la fin de l'année dernière sont en voie d'extinction, mais n'ont sans doute pas encore fini de s'exprimer. Nous avons également sur le court terme des paramètres négatifs qui devraient peser sur ce marché au court de la semaine à venir et après le 13 novembre. Nous n'avons donc rien à priori qui puisse générer actuellement une envolée des prix. Nous estimons que dans un premier temps le marché devrait s'en aller casser avec fermeté la barre des $50. Globallement, nous restons baissier sur ce marché, au moins jusqu'à la fin du présent mois dans un premier temps.

Sur le dollar : Le marché reste bloqué dans les fourchettes enregistrées depuis un certain temps. Certains et même beaucoup considèrent que le dollar devrait s'en aller au delà des points bas enregistrés fin 2004. Certes quelques détails peuvent nous échapper, mais il ne nous apparaît pas à priori que les configurations présentes permettent d'envisager pour l'instant un tel scénario. D'ailleurs les banques centrales veillent et les propos avancés par le BCE ainsi que par les responsables japonais tendent à soutenir la devise américaine. Quant à l'euro yen les quelques déclarations enregistrées dernièrement, si elles ont permis de constater un petit reflux en dessous des 150, n'ont nullement entravé la volonté des autorités japonaises quant au but qu'elles se sont fixées.

Sur l'or et les taux d'intérêts :

Terminons le raisonnement que nous avions avancé en novembre 2005, concernant l'évolution du marché de l'or, lequel est exposé vers le milieu du présent paragraphe comme cela a été indiqué au début de cette page .
Entre 1965 et 1980, l'once d'or fin est passé de 35 à 850 dollars. Son prix a donc été multiplié par 24,2857. C'est sans doute le respect de la même proportion qui fait affirmer à Manfred Zimmel que l'or devrait atteindre d'ici une quinzaine d'année le niveau des 6000 dollars l'once. En ce qui nous concerne, dans un esprit mathématique, ou trop puriste, nous nous contentons d'effectuer bêtement la multiplication considérant qu'en 2001, le marché est parti de 255 dollars l'once. Respectant la proportion, nous obtenons :

260 X 850/35 = 6192,28 dollars. Si à cela nous ajoutons quelques paramètres assez négatifs qui devraient secouer l'économie mondiale entre 2010 et 2012, rien ne nous empêche de penser que le marché puisse aller plus haut.

Le président de la BCE semble avoir été assez clair dans ses déclarations : les taux sont condamnés à la hausse.

Concernant cette petite partie, comme il n'y a rien à changer pour une période assez longue, il me semble préférable de laisser pour l'instant cet ensemble en l'état.
Quelques questions nous sont posées assez souvent quant à l'évolution du métal jaune. Notre position est invariable depuis le 10 juillet 2001 : l'or est à la hausse jusqu'en 2018. Son sommet sera-t-il de 2000 dollars l'once ou de 5000, seules les années nous permettrons de constater le niveau qui sera atteint. C'est un mouvement de long terme qui est parfaitement cerné et sur lequel il y a unanimité sur un plan mondial. Un rapide étude réalisée depuis 1830, montre avec clarté que la période présente génèrera, obligatoirement une hausse du métal jaune (exprimée en dollars). Le mouvement est sur un plan théorique similaire à celui enregistré entre les années 1965 et 1981. A l'époque de 35, le marché est passé à 800. En 2001 au plus bas, le marché est cette fois parti de 250. Je vous laisse le soin de faire la ou les multiplications. La méthode utilisée permet non seulement pour la matière concernée (l'or métal), de déterminer la tendance, mais aussi d'avancer une amplitude quant au mouvement à venir.

Quant aux taux d'intérêts, ils ont bien réalisés leurs points bas en juin 2003, ce dont R Merriman avait fait part à l'époque en temps opportun. Occasion qui avait été saisie à l'époque par Warren BUFFET pour vendre l'ensemble de son portefeuille obligataire. Le cycle est identique à celui de l'or, il n'y a donc aucune raison de douter quant à l'évolution à venir. Si vous examinez une courbe des T-Bonds, vous remarquerez que de 1981 à 2003, les taux n'ont fait que de baisser avec quelques contre-mouvements, nous sommes maintenant repartis pour 20 ans dans l'autre sens.
Profitons d'ailleurs pour expliquer à ceux qui ne le sauraient pas qui est Warren BUFFET. Positionner ce Monsieur, est chose aisée. Tout le monde a entendu parler du patron de Microsoft, Bill Gates, première fortune du monde. Derrière lui, se trouve tout simplement Warren BUFFET. Particularité : il préside tous les ans une assemblée générale de son fond d'investissement. Si vous souhaitez y assister, l'entrée est payante, et tous les ans, la salle est comble.

Valid HTML 4.01 Transitional

Valid CSS!
Retour à l'accueil| Liste des publications| MMA Cycles Sommaire| Configuration Dlink
















Des offres compétitives et un fonctionnement harmonieux.
Abonnez-vous...