Les arbres ne montent pas jusqu'au Ciel...

Les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie...

 

LE COCHON  SIDERAL

Elle prie le ciel pour lui demander de bien nous inspirer
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Le 18 décembre 2006 - semaine 51

Il n'y aura plus d'article avant l'année prochaine.

Commençons par les cheveux des Dames pour lesquels coupe ou coiffure peuvent être choisis soit le vendredi 22 décembre ou le vendredi 29.

Les fêtes approchant, les mouvements sociaux devraient sans doute d'ici la fin de l'année passer au second plan. Quant au reste, il nous semble préférable de le garder pour l'an prochain tout en soulignant que les légers frémissements qui commencent à se manifester en Iran pourraient laisser présager quelques changemenents importants dans ce pays alors que cela ne fait guère pour l'instant la une de l'actualité.

Sur marché du porc breton : Nous avions lu que l'été dernier c'était la coupe du monde de football qui avait provoqué l'envolée des prix sur le marché du porc. En parcourant quelque littérature, nous avons eu l'occasion de découvrir une ânerie du même style expliquant la baisse actuelle sur le marché du porc breton. Mais si la première explication provenait d'un simple producteur, la seconde avait comme source un analyste du marché du porc. Bref, il vaut mieux en rire, et garder en tête que l'esprit humain est toujours plein d'imagination et d'explications.
Sur ce, le premier mouvement de baisse nous apparaît à l'heure actuelle fini et terminé. Le marché s'est arrêté aux alentours de l'euro ce qui fait environ 45 centimes de baisse depuis la fin août-début septembre. Globallement, et à la louche, le marché du porc va maintenant retracer environ 60% de sa baisse (règle de Gann), avant d'entammer un autre plongeon aussi important et délirant. Mais gardons un peu de littérature pour l'an prochain et penchons nous sur la quinzaine à venir du marché du porc breton. Il y a une quinzaine, nous écrivions que ce n'était pas entre Noël et le nouvel an que les cours allaient pouvoir s'envoler. Bien mal nous en a pris, car un examen plus attentif nous oblige à revoir notre copie. Actuellement, dans le ciel se présentent momentanément de beaux signaux haussiers qui devraient commencer à être agissant dès cette semaine. Même s'il arrivait (par accident ou par erreur d'interprétation de notre part) que le marché du porc baisse encore légèrement au cours de sa séance du 18 décembre, il ne pourra plus baisser le 21 décembre et dans les quinze jours qui suivront. Il va (momentanément) bénéficier d'un filet le protégeant de toute nouvelle baisse. Ensuite, si nous abordons la semaine entre Noël et le nouvel an, nous constatons la présence d'autres facteurs de court et moyen terme qui devraient renforcer et amplifier le début de hausse qui va être enregisté au cours de la semaine à venir. S'il nous faut tirer quelques plans sur la “comète” du marché du porc breton, nous pouvons avancer que d'ici les premiers jours de janvier, le marché devrait être revenu légèrement au dessus des 1,10. Précisons que nous nous référons pour ce chiffre à la quotation actuelle (54 TVM), et non pas à la nouvelle qui sera mise en place. Globallement, la hausse à venir se situe entre 8% (hypothèse basse) et 12% (hypothèse haute). Si le marché se hisse à 1,09 ou à 1,11, il me faudra, et il vous faudra considérer que l'objectif que je vous ai indiqué est atteint. Et pour le moment, rapellez vous que les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie ; alors je vous souhaite de bonnes fêtes ; et l'année n'a pas été mauvaise.

Sur les bourses : Nous n'étions pas persuadés d'une grande baisse il y a une quinzaine. Après quelques flottements le marché est allègrement revenu. L'idéal serait que ce mouvement continue jusqu'à jeudi, puis qu'à partir de vendredi matin le son de cloche commence à changer. Nous assisterions alors à une petite correction de 3 à 6 % au maximum laquelle pourrait durer jusqu'aux derniers jours de décembre ou une petite huitaine de jours. Cela m'apparaît globallement comme de petites vaguelettes plus ou moins importantes destinées à donner un peu d'eau au moulin des commentateurs.

Pétrole brut (brent) : Le marché reste relativement stable pour l'instant sur le brent. Néanmoins après une petite consolidation en début de semaine, un léger mouvement de hausse pourrait voir le jour à partir de mercredi. Celui-ci pourrait d'ailleurs être assez violent à partir du début de l'après-midi. Globallement le marché pourrait d'ici la fin de l'année repasser au dessus des $65 le baril. Quant aux déclarations de l'Opep, il faut les considérer soit comme des chants dignes des chœurs de l'Opéra (à $40 il y a deux ans, il ne fallait pas que les prix montent) ou des mensonges dignes d'un arracheur de dents.

Sur le dollar : Il y a quelque temps, nous évoquions le rôle tranquille et discret de la banque du Japon. Contre vents et marées, celle-ci mène sa barque. Ecoutez les déclarations des hommes politiques et remarquez ceux qui osent se heurter aux désidératas de l'empire du soleil levant. Ceux qui ont osé dans le passé, ne sont pas restés longtemps en poste. Beaucoup s'expriment sur le dollar, qui devait corriger et remonter légèrement d'ici la fin de l'année dans un premier temps, alors qu'il ne fait que suivre le train et varier en fonction de l'astrologie japonaise ou chinoise.

Sur l'or et les taux d'intérêts :

Terminons le raisonnement que nous avions avancé en novembre 2005, concernant l'évolution du marché de l'or, lequel est exposé vers le milieu du présent paragraphe comme cela a été indiqué au début de cette page .
Entre 1965 et 1980, l'once d'or fin est passé de 35 à 850 dollars. Son prix a donc été multiplié par 24,2857. C'est sans doute le respect de la même proportion qui fait affirmer à Manfred Zimmel que l'or devrait atteindre d'ici une quinzaine d'année le niveau des 6000 dollars l'once. En ce qui nous concerne, dans un esprit mathématique, ou trop puriste, nous nous contentons d'effectuer bêtement la multiplication considérant qu'en 2001, le marché est parti de 255 dollars l'once. Respectant la proportion, nous obtenons :

260 X 850/35 = 6192,28 dollars. Si à cela nous ajoutons quelques paramètres assez négatifs qui devraient secouer l'économie mondiale entre 2010 et 2012, rien ne nous empêche de penser que le marché puisse aller plus haut.

Le président de la BCE semble avoir été assez clair dans ses déclarations : les taux sont condamnés à la hausse.

Concernant cette petite partie, comme il n'y a rien à changer pour une période assez longue, il me semble préférable de laisser pour l'instant cet ensemble en l'état.
Quelques questions nous sont posées assez souvent quant à l'évolution du métal jaune. Notre position est invariable depuis le 10 juillet 2001 : l'or est à la hausse jusqu'en 2018. Son sommet sera-t-il de 2000 dollars l'once ou de 5000, seules les années nous permettront de constater le niveau qui sera atteint. C'est un mouvement de long terme qui est parfaitement cerné et sur lequel il y a unanimité sur un plan mondial. Un rapide étude réalisée depuis 1830, montre avec clarté que la période présente génèrera, obligatoirement une hausse du métal jaune (exprimée en dollars). Le mouvement est sur un plan théorique similaire à celui enregistré entre les années 1965 et 1981. A l'époque de 35, le marché est passé à 800. En 2001 au plus bas, le marché est cette fois parti de 250. Je vous laisse le soin de faire la ou les multiplications. La méthode utilisée permet non seulement pour la matière concernée (l'or métal), de déterminer la tendance, mais aussi d'avancer une amplitude quant au mouvement à venir.

Quant aux taux d'intérêts, ils ont bien réalisés leurs points bas en juin 2003, ce dont R Merriman avait fait part à l'époque en temps opportun. Occasion qui avait été saisie à l'époque par Warren BUFFET pour vendre l'ensemble de son portefeuille obligataire. Le cycle est identique à celui de l'or, il n'y a donc aucune raison de douter quant à l'évolution à venir. Si vous examinez une courbe des T-Bonds, vous remarquerez que de 1981 à 2003, les taux n'ont fait que de baisser avec quelques contre-mouvements, nous sommes maintenant repartis pour 20 ans dans l'autre sens.
Profitons d'ailleurs pour expliquer à ceux qui ne le sauraient pas qui est Warren BUFFET. Positionner ce Monsieur, est chose aisée. Tout le monde a entendu parler du patron de Microsoft, Bill Gates, première fortune du monde. Derrière lui, se trouve tout simplement Warren BUFFET. Particularité : il préside tous les ans une assemblée générale de son fond d'investissement. Si vous souhaitez y assister, l'entrée est payante, et tous les ans, la salle est comble.

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