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LE COCHON  SIDÉRAL

Les arbres ne montent pas jusqu'au Ciel...

Les taupes ne creusent pas jusqu'en Australie...
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Le 17 novembre 2008 - semaine 47

Des propos toujours divers continuent d'être entendus concernant la crise financière qui traverse la planète. Notre point de vue est que l'on est en train d'essayer de guérir la maladie en essayant d'injecter au malade le virus qui a causé ladite maladie. Ou pour être plus clair : les banques centrales depuis une dizaine d'années ont injecté des quantités de liquidités. Cet excès de liquidités a été prêté par beaucoup de banques mondiales principalement aux banques des Etats-Unis qui ont profité de cette aubaine pour financer des prêts immobiliers sans tenir compte de la réalité économique. Et aujourd'hui les mesures envisagées consistent à augmenter les liquidités dont disposent les banques afin qu'elles continuent dans cette voie. L'origine du problème est assez simple : un manque de sagesse de la part des banques centrales. Et si je vous ajoute que certains empruntent pour s'offrir des vacances vous comprendrez mieux que quelque chose tourne à l'envers.

Ceci clos, revenons à des propos plus intéressants : ceux tenus par le Président de la République Française au cours de la journée du 11 novembre où les paroles de paix qu'il a émis semblent correspondre aux grands aspects planétaires qui devraient gouverner la planète au cours des trois ou quatre prochaines années. Cet aspect très lourd et très rare que nous ne reverrons jamais, devrait freiner toute velléité mondiale importante pour quelque dizaines d'années. Certes cet aspect n'est pas encore pleinement actif mais il est fort probable que ses effets se fassent déjà sentir.

Sur marché du porc breton :

La semaine dernière concernant le marché du porc breton, nous avions osé vous avancer le début d'un mouvement de hausse pour cette fin de semaine. Pour l'instant le marché du porc semble s'être simplement stabilisé. Nous n'avons pas encore assisté au mouvement de hausse que nous escomptions en fonction des paramètres qui se présentaient. Certes ce paramètre haussier sur le marché du porc reste actif mais a du mal à s'exprimer actuellement compte tenu du contexte ambiant. Pour la semaine à venir, c'est à dire à partir du 17 novembre, nous restons très relativement ou très prudemment haussier sur le marché du porc breton dans la mesure où des paramètres de court terme pourraient soit obliger le marché du porc à perdre de nouveau quelques centimes (notamment le jeudi 20) où l'empêcher de monter avec vigueur. A notre point de vue, et à priori, nous ne devrions pas nous tromper (espérons le, car le signal est fort), il faudra attendre la fin du mois pour assister à un décollage certain du marché du porc breton. Quelle en sera la raison, peut-être des promotions dans certains magasins qui obligeront des acheteurs à courir après la marchandise ? ou tout autre raison qui nous est étrangère. Mais comme il nous est arrivé maintes fois de vous l'écrire la ou les raisons nous importent peu. Seul le sens du mouvement à venir nous intéresse sur le marché du porc breton comme d'ailleurs pour les autres marchés.

Sur les bourses : Nous laissons cette rubrique à notre correspondant des Etats-Unis dont vous pouvez lire la colonne hebdomadaire sur ce site en langue anglaise.

Sur le dollar : Il nous semble préférable de suspendre cette rubrique momentanément.

Sur l'or et les taux d'intérêts :

Terminons le raisonnement que nous avions avancé en novembre 2005, concernant l'évolution du marché de l'or, lequel est exposé vers le milieu du présent paragraphe.
Entre 1965 et 1980, l'once d'or fin est passé de 35 à 850 dollars. Son prix a donc été multiplié par 24,2857. C'est sans doute le respect de la même proportion qui fait affirmer à Manfred Zimmel que l'or devrait atteindre d'ici une quinzaine d'année le niveau des 6000 dollars l'once. En ce qui nous concerne, dans un esprit mathématique, ou trop puriste, nous nous contentons d'effectuer bêtement la multiplication considérant qu'en 2001, le marché est parti de 255 dollars l'once. Respectant la proportion, nous obtenons :

260 X 850/35 = 6192,28 dollars. Si à cela nous ajoutons quelques paramètres assez négatifs qui devraient secouer l'économie mondiale entre 2010 et 2012, rien ne nous empêche de penser que le marché puisse aller plus haut.

Le président de la BCE semble avoir été assez clair dans ses déclarations : les taux sont condamnés à la hausse.

Concernant cette petite partie, comme il n'y a rien à changer pour une période assez longue, il me semble préférable de laisser pour l'instant cet ensemble en l'état.
Quelques questions nous sont posées assez souvent quant à l'évolution du métal jaune. Notre position est invariable depuis le 10 juillet 2001 : l'or est à la hausse jusqu'en 2018. Son sommet sera-t-il de 2000 dollars l'once ou de 5000, seules les années nous permettront de constater le niveau qui sera atteint. C'est un mouvement de long terme qui est parfaitement cerné et sur lequel il y a unanimité sur un plan mondial. Un rapide étude réalisée depuis 1830, montre avec clarté que la période présente génèrera, obligatoirement une hausse du métal jaune (exprimée en dollars). Le mouvement est sur un plan théorique similaire à celui enregistré entre les années 1965 et 1981. A l'époque de 35, le marché est passé à 800. En 2001 au plus bas, le marché est cette fois parti de 250. Je vous laisse le soin de faire la ou les multiplications. La méthode utilisée permet non seulement pour la matière concernée (l'or métal), de déterminer la tendance, mais aussi d'avancer une amplitude quant au mouvement à venir.

Quant aux taux d'intérêts, ils ont bien réalisés leurs points bas en juin 2003, ce dont R Merriman avait fait part à l'époque en temps opportun. Occasion qui avait été saisie à l'époque par Warren BUFFET pour vendre l'ensemble de son portefeuille obligataire. Le cycle est identique à celui de l'or, il n'y a donc aucune raison de douter quant à l'évolution à venir. Si vous examinez une courbe des T-Bonds, vous remarquerez que de 1981 à 2003, les taux n'ont fait que de baisser avec quelques contre-mouvements, nous sommes maintenant repartis pour 20 ans dans l'autre sens.
Profitons d'ailleurs pour expliquer à ceux qui ne le sauraient pas qui est Warren BUFFET. Positionner ce Monsieur, est chose aisée. Tout le monde a entendu parler du patron de Microsoft, Bill Gates, première fortune du monde. Derrière lui, se trouve tout simplement Warren BUFFET. Particularité : il préside tous les ans une assemblée générale de son fond d'investissement. Si vous souhaitez y assister, l'entrée est payante, et tous les ans, la salle est comble.

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